Et voila qu’après la quatrième session, qualifiée de dernière par certains alors qu’aucun accord de paix n’a été signé entre les protagonistes, les femmes
se disent insatisfaites de leur représentation et participation parce que les invitations n’ont pas tenu compte de leur volonté de s’impliquer davantage pour apporter une plus-value au dialogue inter burundais.
Estimant qu’un conflit politique demande des solutions politiques de la part des acteurs
politiques, la facilitation a réservé une place insignifiante aux femmes dans le processus de paix malgré un fort plaidoyer des burundaises. C’est à se demander si la facilitation est, elle-même, sensible au genre !
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